Je suis une PSYchopraticienne humaniste : 4 mots reflètent l’ADN de mes accompagnements en thérapie individuelle, en thérapie de couples, lors de mes accompagnements des personnes atypiques, en tant que référente handicap :
LE CARE, L'EMPOWERMENT, LA CONFIANCE, L'ETHIQUE
La posture de coach, c’est croire dans le potentiel de ses clients. Formée à l’école d’Helene Roubeix, école de PNL humaniste, mon approche en tant que psychopraticienne sur Sèvres s’inscrit dans le courant humaniste : fondé sur une vision positive de l'être humain, plutôt que de se concentrer sur le dysfonctionnement, la psychologie humaniste s’efforce d’aider les gens à réaliser leur potentiel et à maximiser leur bien-être. La psychologie humaniste introduit le postulat de l’autodétermination et du libre arbitre de la personne. Ces thérapies individuelles s’intéressent essentiellement au présent.
« Psychopraticien, psychothérapeute, psychologue, psychanalyste… Pas facile de s’y retrouver face à ces terminologies variées si vous souhaitez exercer un métier qui apporte une aide psychologique. Bien que toutes ces professions aient pour objectif d’accompagner une personne vers un état de bien-être, ces pratiques « psy » sont très différentes.
Selon la FF2P, Fédération française de psychothérapie et de psychanalyse, "le psychopraticien est un spécialiste des méthodes de la psychothérapie qui poursuit un objectif ultime : déchiffrer l’état psychologique d’une personne dans son for intérieur et tenter de l’aider à se sentir mieux. Le psychopraticien travaille avec des personnes qui ne sont pas dans un processus pathologique. » Il les aide à mieux se servir de leurs capacités émotionnelles, psychocorporelles, relationnelles et intellectuelles pour mener une vie harmonieuse et satisfaisante. Un psychopraticien est là pour accompagner les personnes à évaluer et à éliminer un mal-être. Ce professionnel aide le patient à mieux comprendre sa personnalité et à la réorganiser."
Etre reconnu psychopraticien implique pouvoir justifier "d'une solide formation théorique et pratique, d'une psychothérapie personnelle, du principe de supervision, d'un engagement à se conformer à la charte déontologique, et enfin d'une accréditation d’une commission de pairs."
Le terme psychopraticien correspond à l’ancien titre «psychothérapeute», ce qui porte à confusion.
PSYchopraticienne sur Sèvres, mon approche est inspirée par mon mentor Angélique Gimenez, titulaire du CEP (certificat européen de psychothérapie), spécialisée dans le domaine de l’attachement, des psychotraumas, des troubles alimentaires avec une formation scientifique à la base.
Dans ses supervisions et ses formations, Angélique développe la notion de la RELATION THERAPEUTIQUE indispensable pour accompagner des personnes qui souffrent. Les personnes qui viennent nous voir sont en détresse psychologique, en burn-out, elles doivent dépasser une étape de vie douloureuse (séparation, deuil, crise identitaire, maladies…), elles viennent pour sortir d’une dépendance affective ou autre situation les affectant (troubles alimentaires, addictions, phobies, comportements récurrents impactant négativement leur vie) , pour traiter des moments traumatiques, pour gérer des conflits familiaux, pour se découvrir et apprendre à s’aimer, pour retrouver la confiance en elle, pour trouver un sens à leur vie. Savoir les accueillir et créer une relation inconditionnellement bienveillante, cadrée, constructive et sécurisante est la base de toute thérapie individuelle.
Le care est bien au-delà de la bienveillance et de l’écoute active : c’est s’investir dans une relation thérapeutique qui va permettre à la personne de re-croire en un mieux possible. Comme dit Angélique, il s’agit d’être attentif ET aussi attentionné à l’autre. Etre attentif à l’autre c’est sans cesse calibrer l’état émotionnel de la personne pour pouvoir accueillir ce qu’elle dit avec ouverture et soutien. C’est être en capacité de lui apporter réconfort et affection. Attentionné : c’est manifester des attentions, donner de son temps pour que la personne se sente en sécurité, en confort et se sente clairement acceptée dans ce qu’elle est, c’est lui apporter de la chaleur humaine. Angélique Gimenez m’a confirmé que ma pratique en coaching de féliciter le client pour une étape avec un petit cadeau prend effectivement sens et a des vertus thérapeutiques : c'est signifier que l'autre existe et que l'on reconnait chaque pas qu'il fait en le renforçant. Cela est très bien décrit dans les études sur la notion de feed back par Richard Bandler et John Grinder, marquer une attention, donner une récompense même sans raison, simplement pour renforcer la relation.
Référente handicap, lors de mes études au CNAM j’ai eu la chance d’être formée par des médecins, des chercheurs, des responsables d’établissements notamment dédiés aux maladies comme Alzheimer, lesquels sont tous convaincus de que ce nous véhiculons aussi en tant que coach et professionnel de la psychothérapie humaniste : la responsabilité de la personne dans son cheminement vers son objectif de vie. Le terme scientifique est l’empowerment.
Il désigne le processus par lequel un individu, une équipe ou une communauté acquiert les moyens de prendre des décisions, de résoudre des problèmes et d’exercer un contrôle sur leur vie ou leur travail.
Le psychopraticien va accompagner la personne sur le chemin de l’autonomie.
Le 3ème pilier de mon approche est la confiance : confiance dans la personne dans son rythme et ses hauts et bas sur le chemin de son objectif de vie, confiance dans les processus de la psychothérapie, de l’hypnose, du coaching, confiance en moi et ma légitimité en tant que psychopraticienne (merci mes mentors et mes clients pour vos feed backs !), confiance en l’avenir.
Le travail sur la ligne du temps est riche de ressources pour garder le cap, renforcer sa motivation, trouver des ressources dans le passé, le présent et même le futur.
La PNL et ses différents modèles est extrêmement riche d’outils pour amplifier les bienfaits d’une psychothérapie humaniste.
Enfin, le 4ème pilier de mon approche est l’éthique : le respect de la déontologie de la psychothérapie humaniste, de ses règles et usages. Ce qui implique être à sa juste place dans sa pratique.
J’ai recours à mes mentors psychologues, psychopraticiens, médecins et autres professionnels (référents handicap) lorsque j’en ressens le besoin pour mieux accompagner mes clients.
Et bien sur je connais les protocoles pour les adresser à un psychiatre ou un professionnel spécialisé lorsque leur prise en charge thérapeutique n’est pas de ma compétence.
Pour valider ma posture, j'ai été supervisée de nombreuses années dans le cadre de groupes mensuels, aujourd'hui je privilégie des supervisions individuelles et continue à me former. Je suis membre de la Fédération Nationale de la psychothérapie PNL et membre de la Fédération Française d'hypnose ericksonienne, de coaching et de PNL.
On appelle une psychothérapie intégrative une psychothérapie qui va s’appuyer sur différents courants thérapeutiques pour apporter un accompagnement efficient et sur mesure au patient.
Formée à la psychothérapie, à la PNL, à l’hypnose, aux TCC, à la psychotraumatologie, à l’IMO, au neuro-feedback, à des modules de diététicienne mais aussi à des pratiques thérapeutiques corporelles comme le reiki et le shiatsu, avec un parcours de chef d’entreprise, de consultante en communication, de formatrice et de professeur dans l’enseignement supérieur, il me semble pertinent de dire que je pratique une psychothérapie intégrative : je vais adapter mon accompagnement personnalisé à la personne : à quelle approche adhère-t-elle le plus volontiers ? selon la séance et la thématique, j’adapte mes questionnements et les techniques utilisées. Dans le respect des modalités et choix de la personne.
PSYchopraticienne, je garde un côté coach dans ma pratique : très souvent les personnes repartent avec des exercices qu’elles ont expérimentés et appris pendant la séance pour pouvoir apprivoiser leur charge mentale et capitaliser sur les phases où elles ruminent en boucle pour en extraire des idées et des solutions. Objectif : que les personnes sachent comment alléger le poids de leur charge mentale au quotidien.
Thérapie individuelle, thérapie de couples, accompagnements des étudiants et jeunes adultes, référent handicap/soutien psychologique et opérationnel : mon approche est sécurisante, conviviale, curieuse des personnes pour pouvoir en respecter l’identité et le rattachement à des groupes d’appartenance (religion, famille…), les croyances et les valeurs, les capacités et les comportements usuels et je suis résolument orientée bienveillance et solutions. Texte
Lorsqu’une personne se mobilise pour « aller voir un psy », le premier contact est essentiel pour lui apporter ce que j’appelle « de la chaleur humaine » : elle doit immédiatement se sentir enveloppée d’une énergie d’accueil et de bien-être pour pouvoir enfin se poser et profiter de ce temps très spécial où elle va être au centre de l’entretien et pouvoir être elle-même, au naturel.
lors du premier entretien, le cadre sécurisant et réconfortant est posé : règles de la confidentialité, de la bienveillance, les modalités du parcours thérapeutique, mon respect de la déontologie de la FF2P (Fédération Française de Psychothérapie et de Psychanalyse).
Lors du premier entretien, la personne va raconter pourquoi elle vient et ce qu’elle souhaite. Souvent appelé entretien d’anamnèse, cette première séance permet de recueillir l’ensemble des informations concernant la personne : son environnement de vie, son histoire, la situation qui la bloque, comment cela impacte sa vie, l’origine de ce problème et ce qu’elle a déjà exploré – dont les traitements médicaux le cas échéant – pour en sortir.
Fondamentalement coach dans mon approche, cette première séance est construite pour apporter un mieux-être immédiat à la personne : parfois l’écoute attentive suffit, parfois elle est demandeuse d’un conseil opérationnel à mettre en œuvre, souvent notre conversation s’enrichit par l’application d’une technique en PNL (programmation neuro-linguistique) ou hypnose lui permettant un premier pas vers un changement, la confiance, l’espoir et la conscience d’être comprise, soutenue, guidée vers ce à quoi elle aspire.
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Les séances suivantes : capitaliser sur le savoir-être et les savoir-faire de la personne
Les premières séances permettent d’affiner le but de la thérapie : on part du « je ne veux plus ou je veux que quelqu’un change » vers un objectif personnel (il dépend uniquement de la personne), réalisable et écologique, contextualisé et qui fait sens pour la personne.
Le cheminement prendra le temps qu’il faut pour que la personne apprenne à s’appuyer sur tout ce qu’elle sait déjà faire, sur ce qu’elle est pour cheminer vers la réalisation de son objectif thérapeutique : ses zones d’excellences, ses fonctionnements et façon de comprendre le monde, ses croyances, ses capacités, ses comportements, ses états intérieurs aidants pour transformer sa vie comme elle le souhaite, dans le respect de son écologie et de celle des autres.
Psychopraticienne humaniste, j’intègre dans mes accompagnements personnalisés les techniques et les outils de la psychothérapie, de la psychotraumatologie, de l’hypnose, de la PNL, du coaching de vie, de l’IMO, mes connaissances autres, je m’appuie sur des récits et des métaphores pour aider la personne à voir autrement les situations pour qu’elle puisse s’ouvrir sur de nouvelles perspectives, de nouvelles façons de faire, tout en renforçant son savoir-être et savoir-faire particulièrement aidant pour elle.
PSYchopraticienne humaniste, j'ai confiance dans les processus de la psychothérapie et le potentiel de la personne pour qu'elle puisse recevoir le soutien et le réconfort dont elle a besoin, l'accompagnement bienveillant et éthique pour qu'elle puisse se connecter à son projet de vie, le décliner en objectifs réalisables, écologiques et motivants.
La psychologie humaniste s'intéresse au présent pour construire un futur heureux et se concentre non pas sur les problèmes et les dysfonctionnements de la personne mais sur son potentiel et ses ressources pour sortir de sa dépression, de son burn-out, d'une crise identitaire, de psychotrauma, de troubles psychotomatiques qui l'empêchent de vivre, de conflits relationnels ou tout autre sujet impactant sa vie.
Mes accompagnements priorisent la santé de la personne et sa capacité à prendre soin d'elle. Le cas échéant, j'oriente la personne vers les professionnels du monde médical : médecin, spécialistes, psychiatres...
Le care (prendre soin de la personne), l’accueil inconditionnel dans ce qu’elle est, la croyance en ses capacités personnelles (empowerment) pour se construire une vie harmonieuse et fructueuse, la confiance en elle et le respect de la déontologie de la profession de psychopraticienne sont les piliers de mes thérapies individuelles.
Mon objectif : qu’à chaque séance la personne reparte avec une meilleure énergie et quelque chose de nouveau – expérimenté en séance - à tester pour aller mieux et qu’elle se sente soutenue, réconfortée, guidée vers son objectif de vie pour lequel elle consulte.
Pour en savoir davantage, lire « déroulé d’une séance »
En thérapie de couple, le premier rendez-vous est à l’initiative de la femme qui me connait en tant que psychopraticienne ou coach. Il est donc essentiel pour moi d’accueillir le monsieur avec beaucoup d’empathie et de rapidement comprendre sa motivation et des clés sur son mode de fonctionnement. La première séance est essentielle pour créer un climat de confiance avec lui et pour le couple.
L’approche sera plutôt en mode coaching pour que dès le démarrage, les deux puissent exprimer leur volonté de « sauver leur couple » ou un autre objectif et que nous mettions les bases d’une communication constructive où chacun va apprendre les modalités de l’écoute active, attentive et devenir attentionné aux besoins de l’autre, dans le respect des siens.
A deux, on a plus d’idées que tout seul : c’est mon adage pour les accompagner à trouver de nouveaux comportements ensemble qui vont nourrir leur vision du couple, leurs valeurs communes et les amener à rêver ensemble à de nouveaux projets.
Au cours des entretiens, des exercices en communication relationnelle leur sont proposées et ils repartent avec des mises en application lors de situations concrètes chez eux.
Ma connaissance de la psychothérapie est aidante pour détecter des blocages individuels ou du duo devant faire l'objet d'un travail en thérapie individuelle. Leur expliquer certaines raisons de leurs difficultés est souvent aidant et les motive à faire ce parcours personnel en complément de la thérapie de couples.
Mon approche est résolument médiatrice et orientée solutions.
J'aime accompagner les étudiants et jeunes adultes en thérapie individuelle (et de jeunes couples) car je dispose d'une très forte croyance, renforcée par mon expérience : les personnes jeunes vont vite quand ils croient aux bienfaits d'une thérapie. Pour déclencher leur mobilisation dans leur accompagnement thérapeutique, il faut contribuer à provoquer dans un premier temps sur un sujet "simple" des résultats rapides.
Mon approche s’appuie principalement sur des techniques en PNL (programmation neuro-linguistique) pour le côté ludique, surprenant et… efficace.
Bien évidemment, comme pour toute thérapie individuelle, la déontologie du protocole est respectée :
Humour, convivialité, soutien, réconfort, rigueur et résultats sont au rendez-vous.
Référent handicap, j’accompagne les personnes qui sont impactées par des problèmes de santé dans leur vie professionnelle et personnelle.
Peu de mes clients sont handicapés ou reconnus comme tels. La plupart ignorent qu’ils vivent une situation de handicap invisible et/ou temporaire : profils atypiques non diagnostiquées en difficulté dans leur vie professionnelle ou personnelle, personnes en burn-out, en dépression, femmes souffrant d’endométriose ou autres douleurs invisibles, périodes post opératoires, traumatismes crâniens déclenchant des pertes cognitives régulières, étudiants vivant des crises d’angoisse déclenchant des phobies, jeunes et moins jeunes adultes avec des comportements addictifs, personnes cachant une maladie (cancers, fibromyalgie…)…
Informer sur leurs droits, montrer qu'il y a des solutions et les accompagner pour qu'elles soient mises en place - école, université, entreprise - apporter soutien et réconfort est le premier pilier de mon accompagnement comme référente handicap en libéral. Les accompagner pour qu'elles intègrent des changements et de nouveaux comportements écologiques et aidants pour elles construit le parcours thérapeutique.
psychothérapie humaniste les personnes pour qu’elles contribuent avec les ressources dont elles disposent à améliorer leur santé et leur mieux-être.
En psychothérapie, le rythme d’une séance hebdomadaire est souvent le plus efficace pour que la personne puisse se sentir soutenu et réconforté et puisse, quand elle sera prête, intégrer et mettre en pratique de nouvelles choses.
Ce que je constate généralement : les personnes viennent pendant un temps - plusieurs mois - très régulièrement. Elles passent des étapes importantes. Elles choisissent alors de profiter de ce mieux-être et reviennent plus tard pour aborder un nouvel objectif de vie. Merci à toutes celles qui me font confiance depuis des années pour se construire, à leur rythme, une vie heureuse.
Peut-on venir une seule fois en thérapie ?
Une thérapie est un processus en relation d’aide pour aider une personne à sortir d’une situation pour cheminer vers un mieux-être. On peut venir à une seule consultation : par exemple lorsque le «courant» ne passe pas avec le thérapeute, avec l’approche proposée, la personne peut tout à fait décider de choisir un autre professionnel.
Psychopraticienne sur sèvres, pratiquant l’hypnose et le coaching, il m’arrive de recevoir des personnes une unique fois car elles souhaitent pouvoir être guidées dans leurs réflexions pour prendre une décision. Mais il ne s’agit pas là d’une thérapie individuelle.
Comment savoir si une thérapie est faite pour moi ?
Les professionnels de la santé mentale et la psychothérapie s’accordent de plus en plus, et surtout à l’heure où des applications IA veulent remplacer les psy !, le disent haut et fort : ce qui fera le succès d’une thérapie individuelle est la qualité de la relation entre le thérapeute et son patient/client.
Mon conseil est de vous renseigner sur Internet sur une pratique pour évaluer si elle semble vous correspondre : des personnes vont préférer aller explorer le « pourquoi j’en suis arrivé là » avec un psychologue ou un psychanalyste avant d’entreprendre un chemin vers le changement. D’autres vont vouloir bénéficier d’une thérapie en s’exprimant peu : l’hypnothérapie est, à priori, une bonne idée pour eux. D’autres personnes vont vouloir « voir des résultats » rapidement : les coachs formés à la psychothérapie et les psychothérapeutes peuvent répondre à cette demande.
Une fois l’approche « pré-sélectionnée », j’invite la personne à regarder le parcours des thérapeutes qu’elle a pressenti et à vérifier leurs formations d’origine et actuelles : sont-elles des personnes qui fréquentent des collèges de professionnels, sont-elles supervisées, vont-elles encore en formation ? Que disent leurs clients d’elles ?
Ensuite, soit vous « sautez » le grand pas et expérimentez une première séance ou deux. Soit vous pouvez passer un appel avant au thérapeute pour vous rassurer et avoir « une première impression ». Pour ma part, je ne trouve pas que ces « appels » reflètent nécessairement la qualité de la relation à venir car celle-ci nécessite de se construire. Pour ma part la première séance est payante car elle dure 1H30 et j’ai la particularité de vouloir apporter quelque chose à la personne dès cette première rencontre. Qu’elle décide de revenir ou pas. Mon âme de coach ressurgit souvent, même en psychothérapie ! Sourire…
Le thérapeute est formé pour accueillir tout profil de personnes. Pour ma part, ma spécialisation sur l’accompagnement des personnes atypiques – autistes, avec TDAH, HPI…- et ma pratique de l’hypnothérapie sont des vrais gages de confort pour les personnes qui n’arrivent pas à parler facilement. Les outils de la PNL sont aussi extrêmement adaptés puisqu’ils agissent sur la structure et non le contenu apporté par la personne. Dans ma pratique, j’ai toutefois rarement reçu une personne silencieuse pendant 1h30…
Dans ma perception, une personne qui souhaite une thérapie individuelle vit une urgence de situation psychologique qui nécessite soutien et réconfort. Il me semble adéquat qu’elle prévoit des séances rapprochées – toutes les semaines – dans un premier temps. Lorsque la personne a la possibilité d’agir davantage dans sa vie pour construire son mieux-être, les séances peuvent s’espacer. Mon expérience toutefois m’a montré que la régularité est la clé pour pouvoir réaliser un travail progressif efficace en accueillant les moments de réussite, les rechutes, les besoins de motivation et de ressources pour garder le cap sur son objectif.
Dans ces phases de développement de la thérapie, des clients suggèrent d’eux-mêmes un accompagnement sur-mesure alliant longues séances et courtes consultations adaptés à leurs possibilités d’agenda et leur rythme et implication dans leur thérapie individuelle.
J’ai la vie dont je rêvais. Je n’y croyais pourtant pas ! La première fois que j’ai consulté Nathalie WEINRYB, je venais parce que j’avais un problème dans mon emploi : je n’arrivais pas à évoluer. Parallèlement je vivais une situation personnelle très compliquée : dépendance affective d’un homme marié, conflits familiaux et gros trauma derrière moi avec des séquelles… Nathalie m’a proposé d’’avancer sur un premier objectif qu’elle estimait « facile » : l’évolution professionnelle. A l’époque, je ne la croyais pas bien mais à chaque fois que je ressortais de nos séances, je reprenais espoir et confiance en moi et j’avais passé un excellent moment. A ce moment là de ma vie, je la remercie de m’avoir guidé dans mes premiers objectifs. J’étais heureuse de me sentir « prise en mains ». Nous avons décortiqué à chaque séance ce qui se passait pour moi et elle avait cette capacité à mettre en avant plein de choses positives que j’avais faites. Alors que je me sentais fautive et nulle quand j’arrivais en consultation. Avec patience et bienveillance, elle m’a appris à faire des petites choses pour que chaque semaine je puisse réaliser que j’avais réussi des actions allant dans le sens de mon autonomie et d’un meilleur être. Sur le cap professionnel, nous avons travaillé ma posture, ma communication. Quand c’était nécessaire, nous avons fait les liens avec mon histoire. Au bout de quelques séances, Nathalie Weinryb m’a proposé d’aller voir un psychologue si je voulais explorer davantage le « pourquoi », me suggérant un travail sur « comment faire pour solutionner telle ou telle situation ». La première grande réussite a été mon changement d’employeur. De simple employée, j’ai fait le grand bond de devenir, dans une autre institution, à la tête de 9 personnes. Nous avons pu alors concentrer le travail thérapeutique sur l’apprentissage de « mettre des limites » et sortir, pas à pas de la dépendance affective. L’ouverture d’esprit de Nathalie WEINRYB m’a permis d’oser, de tenter, d’expérimenter la liberté de faire ce que je voulais et de m’accepter telle que je suis. Nous avons travaillé sur ce qui fait sens pour moi, sur mes croyances limitantes et aidantes, sur mes valeurs et sur mon projet de vie. Aussi inaccessible me paraissait-il dans le contexte que je vivais et avec mes comportements d’alors. Au fil des séances j’ai pu modéliser sur mon savoir-faire et savoir-être professionnel plus stable pour l’installer dans ma vie personnelle. Elle a toujours un rôle de « gardien de mon cap sur mon objectif de vie » pour m’aider à avancer, quelque soit la situation. Et toujours sans aucun jugement sur ce que je faisais ou pas. Elle est toujours là aujourd’hui lorsque le doute revient. Mais aujourd’hui je vis ce à quoi je rêvais : je suis Maman à nouveau, en couple, dans une famille recomposée harmonieuse et aimante.
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